Un entretien avec Xavier Mercier
Avant le match important contre l’OH Leuven, nous nous penchons avec Xavier Mercier sur le choc contre son ancien club.
- C’est quoi ton endroit préféré ?
La Grand-Place et les endroits plus touristiques.
- Comment décrirais-tu la saison du RWDM en un mot ?
Mitigée.
- Comment décrirais-tu ta saison en un mot ?
Mitigée.
- Est-ce que les récentes critiques à ton égard concernant tes performances impactent ton jeu ?
Cela dépend de la personne qui émet la critique. C’est toujours important de comprendre pourquoi on critique. Mais ça n’impacte pas mon jeu.
- La rencontre de ce weekend est assez importante dans la course au maintien. Hasard du calendrier, c’est contre l’OHL, votre dernier club en Belgique. Auras-tu un sentiment particulier lors de la rencontre ?
Non, parce qu’on est dans une situation difficile. Il ne faut penser qu’à nous, même si c’est un match spécial pour moi. Mais je n’y pense pas du tout.
- En quoi le style de Bruno Irles diffère avec le style de Caçapa ?
C’est un style différent. Bruno Irles est plus sur le jeu des équipes anglaises, comme Manchester City ou Liverpool. On essaye de s’en rapprocher. Mais il y a beaucoup de choses à apprendre et il n’y a pas beaucoup de temps.
- Le fait que votre départ de l’OHL ait été compliqué à accepter, êtes-vous revanchard ?
Non, pas du tout. C’est un club où j’ai beaucoup apprécié les trois années passées là-bas. Je pense que je ne les oublierai pas quand je terminerai ma carrière.
- Comme votre contrat comporte une année supplémentaire en option, pensez-vous au futur ?
Forcément on commence à y penser. Pour le moment, on ne peut pas savoir.
- C’est quoi une journée type de Xavier Mercier le jour de match ?
Souvent on est à l’hôtel le jour de match. Je me réveille, petit déjeuner, je retourne dans mon lit, promenade, je mange, je retourne dans le lit et puis on part au stade.
- Que pouvons nous souhaiter à Xavier Mercier ?
La santé pour moi et ma famille, c’est le plus important.